Dans une déclaration, la France pointe du doigt les nombreuses violations des droits de l’Homme et du droit international humanitaire commises notamment par le M23, les Allied Democratic Forces (ADF), la Coopérative pour le Développement du Congo (CODECO), les Mai-Mai, les Twirwaneho et les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR). Selon le ministère des Affairesétrangères françaises, celles-ci « ne peuvent rester impunies ».
« La France appelle à traduire en justice les auteurs de ces crimes. Elle salue la décision du Procureur de la Cour pénale internationale d’examiner les faits commis au Nord Kivu en réponse à la demande des autorités de la RDC », poursuit la diplomatie française.
France condamne avec la plus grande fermeté les multiples exactions commises par les groupes armés cités dans le dernier rapport du groupe d’experts des Nations unies sur la République démocratique du Congo (RDC) publié ce jour. Elle exprime de nouveau sa solidarité avec les populations civiles victimes de ces exactions.
Les nombreuses violations des droits de l’Homme et du droit international humanitaire commises notamment par le M23, les Allied Democratic Forces (ADF), la Coopérative pour le Développement du Congo (CODECO), les Mai-Mai, les Twirwaneho et les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), ne peuvent rester impunies. La France appelle à traduire en justice les auteurs de ces crimes. Elle salue la décision du Procureur de la Cour pénale internationale d’examiner les faits commis au Nord Kivu en réponse à la demande des autorités de la RDC.